Juste une petite news, je viens de faire la MàJ de la 3DS :
Le navigateur marche, mais sans flash dedans (pas testé les vidéos)
le e-Shop : un pokedex 3D, un jeu 8bits de moto en gratuit, le trailer de Zelda en 3D, des infos sur des jeux déjà sortis, la virtual machine proposant 3 jeux Game Boy dont super Mario, mais à 3/4€ chacun, ça fait mal aux fesses.
Sinon pour les possesseurs de DOA, connectez vous à internet avec votre 3DS, des costumes à débloquer chaque jours !
Sinon pas d’échos vis a vis des Linkers à part que mon m3i Zero ne fonctionne plus à l'heure actuelle, un firmware sera sans doute dispo dans les jours à venir !
Un Petit Monsieur avec une manette dans la main.
Autant faire ce que je connais le mieux, test de jeux vidéos !
mardi 7 juin 2011
samedi 4 juin 2011
[test] Dead or Alive
Autant le dire d'entrée de jeu, je n'aime pas les jeux de bastons. Tekken, Street Fighter, Dragon ball etc etc. Les seuls qui, à mes yeux, valent la peine, ce sont bien les Guilty Gear/Blazblue (Étant donné que ce sont les mêmes dev' ) et les DOA. Pour les premiers, je dirai qu'il s'agit vraiment d'un jeu de combat tactique et non du spamming de touches, comme les bouses citées au début.
Et pour DOA, ce sont les boobs et les culottes.
N'étant pas un fan inconditionnel de la série (je préfère les jeux dehentai simdating RPG) je pense cependant pouvoir affirmer que, lors du mode chronicles, on nous spoil les premiers opus, vite fait, bien fait, sous forme de tutorial expliquant les coups de bases, combos, prises. On apprends donc, si on est un gros noube qui a rien suivi de la saga, qu'une grande entreprise nommée DOATEC fait des clones de gens en les modifiant génétiquement, et qu'en parallèle organise un grand tournoi, le Dead or Alive.
Niveau Gameplay, ça reste un jeu de baston standard avec Pied/poing/prise/garde, jouable avec la croix comme avec le stick. Pour une fois, je dois avouer que la jouabilité au stick est plus agréable que la croix. Sans doute parce que Héléna fait de grands moulinets avec les bras et qu'il faut faire des cercle entiers pour enchainer les combos à deux chiffres. On trouve un mode histoire, un mode arcade, qui permet d'enchainer 5 combats à la suite qu'il faut violer le plus rapidement possible, un mode internet, un mode wifi, un espace figurine où vous pouvez admirer votre collection ainsi qu'un espace streetpass dont j'ai pas encore testé l'utilité.
Le jeu est très joli, on commence vraiment à avoir de bonnes fractures des yeux avec des consoles portables (la dernière fois que j'ai bavé c'était sur FF Crisis Core), la 3D est sympathique, elle permet de profiter encore plus des.. Combats. On note tout de mémés quelques ralentissements, même si en 2 heures de jeu j'ai du en remarquer que 2 voire 3. La bande son est on ne peut plus classique, avec des morceaux tirés des anciens opus. Cependant on gagne nettement en framerate en coupant la 3D.
On notera tout de même qu'avec les pièces collectées lorsque l'on marche (les pièces de la console hein, celles dont on se sert pour la place Mii) permettent de débloquer des figurines, qui permettent elles même de faire des photos. Je trouve ça absolument gadget, le nombre monstrueux de figurines à débloquer me fait doucement rire, on a ainsi droit à de la durée de vie artificielle (mais si, vous savez, comme dans Final Fantasy 13, où on nous a rajouté la mission 64, boss Vercingétorix, réclamant toutes les armes ultimes ainsi que les persos montés à fond. Mais si, vous savez, pour avoir UNE arme ultime, il faut passer 30h à tuer des monstres comme un con)
Dans ce jeu, ce qui lui a permis de se départager de ses copains, c'est son héroïne, Kazumi, une ninja avec de gros seins et une culotte blanche (osez me dire que c'est pour son charisme et je vous biffle.) ça change des deux gays Ryu et Ken, hein ?! Mais surtout, le système de contreprise. À l'instar des autres jeux où vous pouvez vous faire aligner pendant des heures si l'adversaire vous enchaine, DOA intègre une touche permettant de saisir l'adversaire au moment où il va vous toucher et de contrattaquer en une prise qui colle généralement des dégâts très importants. Et là, grand nerf grande nouveauté : En fonction de l'attaque ennemie (basse, mid, haute) vous devez contre-attaquer à la même hauteur ! Si on vous fait une attaque basse, il faut faire "arrière bas" + Y. Fini les jeux mono-touches dont je faisais bien évidement parti pour gagner un match, maintenant il faut se battre, avec les balls et tout !
Au final, on à enfin un vrai jeu de baston, pas un vulgaire portable de console nexgen (Non, je ne critique pas du tout ssf4), pas de superpouvoir pour retourner la situation, juste vos doigts et du skill. Premier bon jeu depuis la sortie, en attendant le magnifique Zelda que la 3D rend encore plus prenant !
Et pour DOA, ce sont les boobs et les culottes.
N'étant pas un fan inconditionnel de la série (je préfère les jeux de
Niveau Gameplay, ça reste un jeu de baston standard avec Pied/poing/prise/garde, jouable avec la croix comme avec le stick. Pour une fois, je dois avouer que la jouabilité au stick est plus agréable que la croix. Sans doute parce que Héléna fait de grands moulinets avec les bras et qu'il faut faire des cercle entiers pour enchainer les combos à deux chiffres. On trouve un mode histoire, un mode arcade, qui permet d'enchainer 5 combats à la suite qu'il faut violer le plus rapidement possible, un mode internet, un mode wifi, un espace figurine où vous pouvez admirer votre collection ainsi qu'un espace streetpass dont j'ai pas encore testé l'utilité.
Le jeu est très joli, on commence vraiment à avoir de bonnes fractures des yeux avec des consoles portables (la dernière fois que j'ai bavé c'était sur FF Crisis Core), la 3D est sympathique, elle permet de profiter encore plus des.. Combats. On note tout de mémés quelques ralentissements, même si en 2 heures de jeu j'ai du en remarquer que 2 voire 3. La bande son est on ne peut plus classique, avec des morceaux tirés des anciens opus. Cependant on gagne nettement en framerate en coupant la 3D.
On notera tout de même qu'avec les pièces collectées lorsque l'on marche (les pièces de la console hein, celles dont on se sert pour la place Mii) permettent de débloquer des figurines, qui permettent elles même de faire des photos. Je trouve ça absolument gadget, le nombre monstrueux de figurines à débloquer me fait doucement rire, on a ainsi droit à de la durée de vie artificielle (mais si, vous savez, comme dans Final Fantasy 13, où on nous a rajouté la mission 64, boss Vercingétorix, réclamant toutes les armes ultimes ainsi que les persos montés à fond. Mais si, vous savez, pour avoir UNE arme ultime, il faut passer 30h à tuer des monstres comme un con)
Dans ce jeu, ce qui lui a permis de se départager de ses copains, c'est son héroïne, Kazumi, une ninja avec de gros seins et une culotte blanche (osez me dire que c'est pour son charisme et je vous biffle.) ça change des deux gays Ryu et Ken, hein ?! Mais surtout, le système de contreprise. À l'instar des autres jeux où vous pouvez vous faire aligner pendant des heures si l'adversaire vous enchaine, DOA intègre une touche permettant de saisir l'adversaire au moment où il va vous toucher et de contrattaquer en une prise qui colle généralement des dégâts très importants. Et là, grand nerf grande nouveauté : En fonction de l'attaque ennemie (basse, mid, haute) vous devez contre-attaquer à la même hauteur ! Si on vous fait une attaque basse, il faut faire "arrière bas" + Y. Fini les jeux mono-touches dont je faisais bien évidement parti pour gagner un match, maintenant il faut se battre, avec les balls et tout !
Au final, on à enfin un vrai jeu de baston, pas un vulgaire portable de console nexgen (Non, je ne critique pas du tout ssf4), pas de superpouvoir pour retourner la situation, juste vos doigts et du skill. Premier bon jeu depuis la sortie, en attendant le magnifique Zelda que la 3D rend encore plus prenant !
dimanche 8 mai 2011
[Test] The Dishwasher - Vampire smile
J'ai craqué. Finalement ouai, jme suis laissé tenté. J’ai enlevé les 15 centimètres de poussière sur ma xboite, et j'me suis connecté. Et bordel, bordel bordel !
Ya du contenu. Solo, multi, d'autres trucs mais j'y viendrai plus tard. N'ayant pas d'ami sous le coude pour cette critique, je testerai juste le mode solo. 6 Niveaux de difficulté, 3 à débloquer. Le jeu commence, on apprend que l'héroïne n'est qu'un bouc émissaire envoyé en prison dans l'espace, et que la folie la guette..
Déjà, c'est beau, fluide, la musique style rock/drum and bass colle parfaitement à l'ambiance glauque et dérangeante, mi steampunk mi-zombie ! J’ai pris le mode de difficulté normal, c’était ça ou facile, mais comme j’ai un gros zizi.. Ça charcute dans tous les sens, on découpe à tour de bras des clones d'Hitler (ou alors j'ai rêvé la moustache..), un mini tuto pour les commandes de bases, et nous voila contre un boss avec un sabre (Heu... Jme bats avec une cuillère là ?) Une fois ce vilain explosé (je suis quand même mort une fois) on récupère son arme et on avance. Du bash, du sang, et un second boss qui.. QUI M'ARRACHE UN BRAS ?
Fin du premier niveau, on nous laisse ensuite le choix entre la prisonnière, Yuki et the Dishwasher pour jouer. J'ai pris la prisonnière, l’histoire étant différente en fonction de ce choix. Les niveaux restent les mêmes, seule la trame scénaristique change. Toujours est-il que notre brave fille sait qu'elle va mal, et qu'elle fait des cauchemars.. Et c'est ce même cauchemars qui lui à greffé une scie électrique au bras fraichement coupé, ça va tailler sec mes loulous !
Un système d'upgrade fait son apparition, ainsi qu'un inventaire avec "pain lunaire" (sorte de potion de l'espace !) et autre (on peut manger des vitamines pour chat !) et une liste de coups variant selon l’enchainement des boutons. Une fois le jeu fait, on débloque deux modes de difficulté supplémentaires, Difficile et speed mode. Plus vous prenez dur, moins vous êtes résistants. Une grenade vous tue en un coup, par exemple, en speed mode.
Deux autres modes de jeu (outre le multi où on joue avec un copain) sont disponibles, le mode arcade et le mode Dishwasher. Ce dernier est un survival, on mange du zombi jusqu'à épuisement de la barre de vie. Le mode arcade est un mode de mini missions, avec à chaque fois une altération, bénéfique ou non. On trouvera des missions « vampire » où notre vie baisse progressivement, ou une mission ralentissant la vitesse des ennemis en fonction du nombre de combos réalisés.
J’ai trouvé ce jeu juste génial, un défouloir très sympa, pas cher, que je conseille à ceux possédant une xboite ! On meurt souvent, mais les checkpoints sont réguliers. pour les ptites natures, on débloque le mode "jolie princesse" quand on meurt trop, remplaçant le sang par des cœurs, et la barre de vie ne descends quasiment plus.
Et un peu de gameplay pour la route !
Ya du contenu. Solo, multi, d'autres trucs mais j'y viendrai plus tard. N'ayant pas d'ami sous le coude pour cette critique, je testerai juste le mode solo. 6 Niveaux de difficulté, 3 à débloquer. Le jeu commence, on apprend que l'héroïne n'est qu'un bouc émissaire envoyé en prison dans l'espace, et que la folie la guette..
Déjà, c'est beau, fluide, la musique style rock/drum and bass colle parfaitement à l'ambiance glauque et dérangeante, mi steampunk mi-zombie ! J’ai pris le mode de difficulté normal, c’était ça ou facile, mais comme j’ai un gros zizi.. Ça charcute dans tous les sens, on découpe à tour de bras des clones d'Hitler (ou alors j'ai rêvé la moustache..), un mini tuto pour les commandes de bases, et nous voila contre un boss avec un sabre (Heu... Jme bats avec une cuillère là ?) Une fois ce vilain explosé (je suis quand même mort une fois) on récupère son arme et on avance. Du bash, du sang, et un second boss qui.. QUI M'ARRACHE UN BRAS ?
Fin du premier niveau, on nous laisse ensuite le choix entre la prisonnière, Yuki et the Dishwasher pour jouer. J'ai pris la prisonnière, l’histoire étant différente en fonction de ce choix. Les niveaux restent les mêmes, seule la trame scénaristique change. Toujours est-il que notre brave fille sait qu'elle va mal, et qu'elle fait des cauchemars.. Et c'est ce même cauchemars qui lui à greffé une scie électrique au bras fraichement coupé, ça va tailler sec mes loulous !
Un système d'upgrade fait son apparition, ainsi qu'un inventaire avec "pain lunaire" (sorte de potion de l'espace !) et autre (on peut manger des vitamines pour chat !) et une liste de coups variant selon l’enchainement des boutons. Une fois le jeu fait, on débloque deux modes de difficulté supplémentaires, Difficile et speed mode. Plus vous prenez dur, moins vous êtes résistants. Une grenade vous tue en un coup, par exemple, en speed mode.
Deux autres modes de jeu (outre le multi où on joue avec un copain) sont disponibles, le mode arcade et le mode Dishwasher. Ce dernier est un survival, on mange du zombi jusqu'à épuisement de la barre de vie. Le mode arcade est un mode de mini missions, avec à chaque fois une altération, bénéfique ou non. On trouvera des missions « vampire » où notre vie baisse progressivement, ou une mission ralentissant la vitesse des ennemis en fonction du nombre de combos réalisés.
J’ai trouvé ce jeu juste génial, un défouloir très sympa, pas cher, que je conseille à ceux possédant une xboite ! On meurt souvent, mais les checkpoints sont réguliers. pour les ptites natures, on débloque le mode "jolie princesse" quand on meurt trop, remplaçant le sang par des cœurs, et la barre de vie ne descends quasiment plus.
Et un peu de gameplay pour la route !
dimanche 1 mai 2011
[Retro] Final Fantasy 9
Tout le monde connait Final Fantasy, j'ai décidé de m'attaquer au dernier opus sorti sur la Playstation première du nom (et oui, ça remonte déjà !), sorti en 2000 (2001 en Europe) puis réédité sur PSN ya pas super longtemps, On se rends compte que les dev' ont cherché a exploiter à fond la console de Sony, et ils ont plutôt bien réussi leur coup, ça dépasse mêmes une bonne partie des sorties sur PS2, mais là n'est pas la question.
Au début, je voulais pas le faire ce jeu. C'est vrai quoi, j'avais fait le début et le boss final, je voyais pas trop l'intérêt de faire le remplissage, surtout que le héros Djidane (Jme suis toujours demandé si il y avait eu une influence de la coupe du monde 98, surtout qu'en JAP et US son nom est Zidane, on peut pas faire plus "kassdédi") c'est juste un blondinet avec une queue de singe. Ce ptit mec est voleur, et est chargé d'enlever la princesse Grenat. Les choses tournent mal puisque rien se passe comme prévu, et les héros sont envoyés un peu partout dans le monde d'Hera. Ils rencontreront Bibi, un mage noir, Steiner, un chevalier tout ce qu'il y a de plus banal, Kweena, une... chose qui passe son temps à bouffer, Freyja une chevalière dragon, Eiko une invocatrice, et Tarask un chasseur de prime. On a également une pseudo méchante, la Reine Branet qui veux conquérir le monde, Kuja qui ourdit dans l'ombre, et.. Des gens, jvais en parler juste en dessous et plus tard.
Jvais passer sur l'histoire, stopper la méchante reine, se rendre compte qu'elle était manipulée par Kuja, on veut lui casser les dents, y'a encore un autre méchant derrière, en fait non, et.. Et on nous sort un grand méchant d'un chapeau. Voila un des gros reproches que je fais à ce jeu. C'est quand même souvent le bordel, si on s'implique un minimum dans l'histoire c'est même pas crédible, c'est prévisible pour le reste.
Pour le gameplay on a du RPG standard avec des jauges ATB (une barre se remplit, quand elle est pleine comme ma sœur, on peut agir) un système d'équipement qui débloque des capacités, des combats aléatoires et des boss à chaque fin de donjon.
Point forts : Les graphismes. C'est quand même joli pour un jeu ps1, c'est pleins (trop ?) de cinématiques, les musiques sont toujours aussi géniales.
Points faibles : C'est leeeent bordel il faut au moins 15 à 20 secondes pour débuter un combat, on valide parfois un ordre "attaquer" qui sera effectif près de 30 secondes après. C’est fatiguant d'avoir 5h de son temps de jeu qui soit juste pour ces chargements à la con, pareil quand on entre ou sort d'une ville. La difficulté est très mal dosée, un coup on viole les mobs un coup on se fait twoshot. La difficulté du jeu disparait lorsqu’on obtient vers les 20h de jeu une capacité, autoregen, qui rend des HP dans le temps.. TOUT le temps ! On lance une invocation avec 3 hp, l'invoc se finit, hop, 3500hp, trop facile ! Donc on spam. Il y a aussi les calculs des stats. On est lvl 25, on mets des claques à 8k (sur des bosses qui ont 50k à la fin du jeu) le jeu est aussi court (CTB) puisqu'on peut le finir en 12h/13h, quelques quêtes annexes visant a rajouter de la durée de vie (trouver des trésors dans une foret puis dans la mappemonde, rien de bien intéressant) et deux boss optionnels seulement, le premier (je cite) "Bien plus difficile, il vous faudra les derniers équipements et un bon niveau" j'ai pas senti. Et le second j'ai un peu eu la flemme.
Donc voila, c'est fait, ça s'arrête là. Jvais aller m'faire un patapon pour décompresser.
Au début, je voulais pas le faire ce jeu. C'est vrai quoi, j'avais fait le début et le boss final, je voyais pas trop l'intérêt de faire le remplissage, surtout que le héros Djidane (Jme suis toujours demandé si il y avait eu une influence de la coupe du monde 98, surtout qu'en JAP et US son nom est Zidane, on peut pas faire plus "kassdédi") c'est juste un blondinet avec une queue de singe. Ce ptit mec est voleur, et est chargé d'enlever la princesse Grenat. Les choses tournent mal puisque rien se passe comme prévu, et les héros sont envoyés un peu partout dans le monde d'Hera. Ils rencontreront Bibi, un mage noir, Steiner, un chevalier tout ce qu'il y a de plus banal, Kweena, une... chose qui passe son temps à bouffer, Freyja une chevalière dragon, Eiko une invocatrice, et Tarask un chasseur de prime. On a également une pseudo méchante, la Reine Branet qui veux conquérir le monde, Kuja qui ourdit dans l'ombre, et.. Des gens, jvais en parler juste en dessous et plus tard.
Jvais passer sur l'histoire, stopper la méchante reine, se rendre compte qu'elle était manipulée par Kuja, on veut lui casser les dents, y'a encore un autre méchant derrière, en fait non, et.. Et on nous sort un grand méchant d'un chapeau. Voila un des gros reproches que je fais à ce jeu. C'est quand même souvent le bordel, si on s'implique un minimum dans l'histoire c'est même pas crédible, c'est prévisible pour le reste.
Pour le gameplay on a du RPG standard avec des jauges ATB (une barre se remplit, quand elle est pleine comme ma sœur, on peut agir) un système d'équipement qui débloque des capacités, des combats aléatoires et des boss à chaque fin de donjon.
Point forts : Les graphismes. C'est quand même joli pour un jeu ps1, c'est pleins (trop ?) de cinématiques, les musiques sont toujours aussi géniales.
Points faibles : C'est leeeent bordel il faut au moins 15 à 20 secondes pour débuter un combat, on valide parfois un ordre "attaquer" qui sera effectif près de 30 secondes après. C’est fatiguant d'avoir 5h de son temps de jeu qui soit juste pour ces chargements à la con, pareil quand on entre ou sort d'une ville. La difficulté est très mal dosée, un coup on viole les mobs un coup on se fait twoshot. La difficulté du jeu disparait lorsqu’on obtient vers les 20h de jeu une capacité, autoregen, qui rend des HP dans le temps.. TOUT le temps ! On lance une invocation avec 3 hp, l'invoc se finit, hop, 3500hp, trop facile ! Donc on spam. Il y a aussi les calculs des stats. On est lvl 25, on mets des claques à 8k (sur des bosses qui ont 50k à la fin du jeu) le jeu est aussi court (CTB) puisqu'on peut le finir en 12h/13h, quelques quêtes annexes visant a rajouter de la durée de vie (trouver des trésors dans une foret puis dans la mappemonde, rien de bien intéressant) et deux boss optionnels seulement, le premier (je cite) "Bien plus difficile, il vous faudra les derniers équipements et un bon niveau" j'ai pas senti. Et le second j'ai un peu eu la flemme.
Donc voila, c'est fait, ça s'arrête là. Jvais aller m'faire un patapon pour décompresser.
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